m0584 - Moussar pour dimanche
Traduction allégée d’un passage du Dévarim Chebakédoucha chap. 4#81
Ne pas tenir parole entraîne de graves conséquences
Durant les six semaines des « Chovavim » – initiales des Parachiyote Chémote, Vaèra, Bo, Béchala’h, Yitro et Michpatim lues pendant cette période au fil des Chabatote –nombreux sont ceux qui se repentent d’avoir porté atteinte au signe de l’alliance sacrée par des pollutions nocturnes.
Il faut veiller à observer ses vœux, car le non-respect d’un engagement peut conduire à une pollution nocturne, à d’importantes pertes matérielles et même à la mort.
Ainsi, Ya’akov fut puni pour avoir tardé à accomplir sa promesse de prélever la dîme de ses biens : il dut offrir des cadeaux à ‘Essav et lutter avec l’ange.
Celui qui ne se repent pas d’avoir transgressé sciemment un vœu sera réincarné après sa mort dans le corps d’une femme prompte à faire des vœux.
Le péché de parjure n’est expié que par le repentir et des souffrances.
En cas de retard dans l’accomplissement d’un vœu ou d’une obligation faite sous serment, l’ange préposé à la parole et à la bonne action qui devait être accomplie se transforme en un être malfaisant, jusqu’au respect de la parole donnée. |